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Mademoiselle Siobhan Lynoë O'Flaherty



24.06.10 21:05

Siobhan L. O'Flaherty
☾ métier : Femme entretenue, prostituée macabre.
☾ missives : 244
☾ avatar : Extatique
Siobhan L. O'Flaherty
VAMPIRE

Siobhan O'Flaherty


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Mademoiselle Siobhan Lynoë O'Flaherty A634

  • Nom : O'Flaherty
  • Prénom : Siobhan Lynoë Jane
  • Date de naissance : 1er Janvier 1902
  • Âge d'apparence : 18 ans
  • Lieu de naissance : Dublin, Irlande.
  • Situation familiale : Célibataire
  • Orientation sexuelle : Grande Philophobique mais Hétérosexuelle dans ses aventures.
  • Pouvoir : Télékynésie offensive, et télépathie qui ne se manifeste que lorsque que la panique se fait sentir, Siobhan pourrait paraître sans pouvoir tant qu'elle est calme. Ses origines jouant sans doute dans la manœuvre, elle est capable d'imiter le cri des Banshees. Les vertus anesthésiantes et paralysantes de ce son d'outre-tombe, mélange chaotique des plaintes de enfants abusés, des cris des femmes accouchant et des râles de guerriers mourant sur le champs de bataille; lui ont plus d'une fois sauvés la mise.
  • Groupe/Clan : A vrai dire, elle cherche sa place, fatiguée de son indépendance, trop souvent synonyme de contraintes...

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  • Caractère :
    `` Il parait qu’un mot peut définir une personne. Un seul, une poignée de syllabe, un ridicule amas de lettres pour disséquer l’intégralité d’un être… Pour Siobhan, on pourrait dire Sibylline. Autrefois, elle était une joueuse, souriante, innocente… Un peu gâtée, peut-être, mais rien de bien méchant. Du moins, en comparaison à ce qu’elle est devenue. Elle est loin la gamine aux anglaises parfaites et au sourire charmant et naturelle. Une séductrice, une femme assoiffée et désireuse de se sentir aimé, voulu, a prit sa place. Les atteintes du passé, le traumatisme d’un épisode d’une violence rare l’ont changé du tout au tout.
    Calculatrice, froide et cruelle, Siobhan est distante, un rien sadique et souvent, elle se montre caustique. Sa lucidité fait mal à ceux qui n’y sont pas habitués, et elle aime énormément être le centre d’attention, peu importe ce que cela lui coute pour parvenir à ses fins. Opiniâtre et déterminée, elle ira jusqu’au bout de ses idées, même si pour cela elle doit faire des dommages collatéraux. Peu habituée à ce qu’on lui résiste, elle s’énerve facilement quand on la contrarie, et même si elle charrie facilement les gens qui entrent dans son entourage, elle ne supporte que très passablement qu’ils se permettent de faire pareil.

    Cependant, il y a de la dualité dans cette jeune femme. Désuète et surannée, il lui arrive de se laisser transporter par une nostalgie et un romantisme naïf et Austiennien qui lui donne à rêver. Elle s’imagine amoureuse, heureuse, simplement comblé par quelqu’un. Elle rêvasse, souvent, trop souvent surement, elle n’aime pas son existence et s’en imagine une plus belle, plus douce. Ne vous y trompez pas, n’est pas encore arrivé celui qui saura la rendre épanouie, et elle ne montre pas cette facette. Oh, j'oubliais... La demoiselle est philophobique. L'idée même d'être ou de tomber réellement amoureuse la terrifie, la notion d'attachement est abstraite pour elle, et ceux qui veulent sa confiance devront faire d'ingéniosité et de patience...

    Souvent nerveuse, à cause de sa vie solitaire, elle est très facilement hagarde, sur la défensive. Ses pouvoirs se sont d’ailleurs développés dans ce sens : Elle est efficace sous la menace, sous la pression… Et puis son don… ce don qu’elle n’a croisé nulle part ailleurs, qu’elle n’a vu en nulle autre, cet héritage… Elle est devenue immortelle parce qu’elle refusait de se soumettre au britannique, parce qu’elle ne voulait dire son nom en Anglais… Et bien elle leur fait un pied de nez en possédant la puissance des Banshees, ce cri, ce hurlement rauque et aiguë à la fois, proprement insupportable, qui colle au sol ceux qui l’entendent…

    On pourrait la croire faible, elle ne l’est pas réellement. On pourrait la penser sans cœur, ce n’est pas le cas non plus. Laissez moi vous présentez Siobhan, la petite irlandaise qui détruit tout sur son passage. Surtout les hommes, en réalité…


  • Physique :
    `` Plutôt petite, menue voir malingre, Siobhan fait partie de la catégorie des « petits bouts de femmes ». Vous savez, celles qu’on évite de chercher, parce qu’on sait que malgré la taille, elles sont redoutables. Ah, ça… c’est un euphémisme. Blonde platine, provocante dans ses vêtements et outrancière dans son maquillage, elle ne passe pas inaperçu, peu importe la foule qui évolue autours d’elle. Son aura fascinante, la clarté de ses yeux immenses, la douceur de sa peau laiteuse, l’ourlet de ses lèvres rosées et l’ovale de son visage en ont perdu plus d’un. Au sens propre. Ils y ont laissé leur cou.

    Bien sûr, il lui manque quelques courbes, son corps d’adolescente est à peine terminé, mais beaucoup aime cette impression d’innocence, de fraicheur, cette sensation qui fait qu’en l’approchant, ils sont sur le point de faire l’amour à un ange… S’ils seulement ils savaient qu’ils ont signé un pacte avec le démon en posant leurs yeux sur elle…


  • Histoire :

    `` Comment oublier ? Comment oublier le Dimanche sanglant, le Bloody Sunday dont on parle tant… Des films, des ouvrages, des chansons traitent du jour qui changea ma vie. Ou plutôt, qui y mit fin, indirectement. Je sais que vous aussi, vous avez une vague idée de ce jour tragique pour les miens, pour les Irlandais… C’était le 21 Juin 1920, et je m’en souviens comme je me souviens d’hier.

    Et pourtant, j’aimerai que ça ne soit pas le cas. Oui, j’aurai aimé que dans le processus, on efface ma mémoire, on retire les horreurs que je venais de voir. Sous mes yeux, eux, mes deux amours…

    Non, je ne veux pas y penser, pas maintenant du moins. Si je commence ainsi, vous n’aurez jamais l’intégralité de mon histoire, de mon parcours. Je me connais, je suis faible, je laisse parfois la nostalgie prendre le dessus, c’est souvent désastreux. Je ne veux pas me le permettre. Et de toute façon, ce n’est pas le moment.

    Commençons plutôt par le commencement, voulez-vous ?

    Je me nomme Siobhan Lynoë O’Flaherty, je suis née à l’aube de 1902, et je suis… j’étais, l’ainée du clan de Dublin, ainsi que la seule héritière possible pour celui de Galway. Mon père, feu mon cher père, se nommait Liam, il était notable et rentier, le cadet des cinq garçons O’Flaherty mais également le seul à s’avérer capable d’avoir des enfants. C’était un homme bon, droit et aimant. Trop dévot, peut-être, mais la religion est un repère facile à saisir durant les moments de détresse, alors je lui ai pardonné depuis longtemps ses manies, ses superstitions, et les rituels quasiment compulsif qu’il s’imposait et m’infligeait.
    Ma mère, Shanna, quant à elle, était une Murray, enfant unique d’une des plus anciennes familles d’Irlande : le clan de Galway. Mais elle était faible, frêle et malade, trop fragile. Je l’ai tué en venant au monde. Bien que personne ne m’ai jamais tenu rigueur de cet événement, il m’arrive de ne pas savoir chasser cette culpabilité qui me prend à la gorge et me donne envie de hurler. Les choses se serraient peut-être passée différemment, si elle n’avait pas succombé à la fatigue, à l’épuisement…

    Peu importe, pour le moment. Je sais qu’avec des « Si », on refait le monde, et là n’est pas mon but. Non, je préfère continuer mon récit, mais reconnaissez qu’il vous fallait un minimum de contexte. Oui, il y a des informations cruciales dans le blabla et les digressions généalogique que je viens de vous servir.

    Comme vous venez de le lire, mon père était un notable. Oui, un homme important, reconnu par ses pairs et aimé par ceux qui le connaissaient, quelqu’un de généreux, un bienfaiteur sans pour autant être un mécène, quelqu’un qui se trouvait simplement là pour les gens qui venaient le lui demander. Ce genre d’homme est contraint à une vie mondaine. Contraint, oui, les sorties ne plaisaient guère à mon géniteur, mais il s’y rendait tout de même. Comme ce jour de Novembre, par exemple.

    Il y avait un match de Football Gaélique, et nous étions invités. Nous… Mon père, l’adorable créature qui partageait sa vie depuis plusieurs années, mon demi-frère Garrett, âgé de dix ans ; et moi-même. Tribune officielle, la position de mon père nous donnant quelques honneurs. J’étais à l’époque âgée de 18 ans, et la simple idée de sortir comme une débutante, d’avoir une vie publique, d’être admirée et regardée par la foule me grisait. J’avais toujours aimé cette vie de privilège. Mon père avait beau être philanthrope et généreux, juste dans ce qu’il faisait, je n’en restait pas moins une espèce de petite princesse pourrie gâtée et capricieuse, une gamine que rien ne satisfaisait… Ou presque. Je faisais la moue devant les robes et les bijoux que l’on me présentait, certes, mais une personne me comblait. Nirhaël Doherty, un fils de à l’allure arrogante et fière mais au cœur si pur et si bon que j’aurais pu me noyer dedans. Je l’aimais, je l’aimais vraiment, comme Elizabeth Bennet aimait son Monsieur Darcy et comme Paul ne voulait que sa Virginie. J’étais naïve, jeune et je ne connaissais rien des choses de l’amour, mais pourtant je peux vous jurer qu’aucun amour n’a jamais été plus… grandiose.

    Mais platonique. Mon père veillait. Toujours est-il que ce jour là, j’avais deux raisons d’être heureuse : premièrement nous sortions, j’allais pouvoir étrenner un nouvel ensemble, une superbe robe crème et chocolat, totalement déplacée pour une manifestation dans le quartier populaire mais tellement belle que je n’avais su résister. Deuxièmement, sur le terrain, il y avait Nirhaël. Je ne me souviens pas des raisons qui l’avaient poussé à jouer dans une équipe des bas fonds de la ville, son père, sans doute, toujours est-il qu’il se trouvait sur le gazon, en contrebas.

    Comme je me souviens des murmures précipités autours de moi… et comme je me revois les ignorer, ne pas me soucier de ce que ses hommes trop vieux et trop ronds pouvaient dire. J’étais trop occupée à envoyer des baisers à celui qui deviendrait un jour mon fiancé, et à encourager les joueurs avec Garrett. Ce qui aurait dû m’alarmer, c’était la concentration de Moïra. La femme de mon père, ma belle-mère, elle d’ordinaire si douce, si gentille et si frivole, semblait soudain affreusement attentive à ce qu’il se passait. Cela lui donnait un coup de vieux impressionnant. Mais je n’en avais que faire, réellement, je préfèrais m’amuser, soulever mon frère pour qu’il puisse mieux voir et apporter mon soutien à ces garçons courant comme des dératés dans le froid de Novembre.

    Je n’ai rien vu venir, je n’ai même pas fait attention aux cris de la foule, et ce n’est que lorsque les policiers britanniques sont entrés dans Croke Park que j’ai comprit que quelque chose clochait. Réellement.

    Avant que je ne puisse cependant tout saisir, je me suis retrouvée trainée par le bras, j’ai descendu les gradins beaucoup trop vite pour que cela ai été de mon propre chef. La main de Garrett était figée dans la mienne, et je sentais qu’il tremblait. Je me revois serrer ses petits doigts pour lui signifier d’être brave, de ne pas pleurer… Et j’ai heurté le sol. Violemment. Trop pour que cela ne laisse pas de séquelles. Mais il s’agissait d’anglais, je ne pouvais décemment pas leur donner le plaisir de pleurer, de gémir. Aussi n’ai-je rien dit… J’ai sourit cependant, quand j’ai sentit l’étreinte de Nirhaël me soulever, me remettre sur pied… Il m’a bien vite lâché, et la fin à commencé à ce moment là.

    Les miliciens vérifiaient l’identité de ceux qu’ils avaient pu attraper, des irlandais qu’ils méprisaient tant et dont ils ne voulaient que la terre, sans se soucier des dégâts causés. J’ai refusé de parler en Anglais. J’étais bornée à l’époque, une gamine idiote et fière, une petite teigne trop têtue… j’ai refusé de parlé en anglais, j’ai décliné mon identité en Gaëlique… Erreur. J’ai entendu le glapissement d’effroi de Nirhaël, et alors qu’on me tirait par l’épaule pour me sortir du lot, j’ai sentit sous ma peau les ongles du petit garçon qui ne voulait pas me laisser filer… Je n’ai même pas eut le temps de leur jeter un dernier coup d’œil, que déjà, on m’entrainait sans ménagement aucun vers un fourgon bleu nuit, à l’entrée du stade.
    Je fut jetée dedans, sans précaution, alors que je tentais tant bien que mal de ne pas entendre les commentaires salaces fait à mon propos. Il faut dire que j’étais belle, j’en avais conscience, mais d’ordinaire, on était galant envers moi. Ces hommes là étaient des rustres, et leurs regards concupiscent m’effrayaient et me révulsaient à la fois… C’était un mauvais pressentiment, en fait. Et je n’aurais pas pu être plus près de la vérité.

    Je n’ai aucune idée du temps que j’ai passé avec eux, dans ce fourgon. Honnêtement, j’aimerai effacer ces instants de ma mémoire, mais je ne peux pas, et pourtant, la notion de temps est absente du tableau. Sachez cependant qu’une seconde de douleur semble une éternité, et que j’ai eut le temps de mourir cent fois entre leurs mains sales, sous leurs coups, sous leurs assauts… Ils riaient, ils aimaient me souiller et me frapper, je n’étais qu’une irlandaise après tout, une chose qu’ils pouvaient s’approprier sans retenue…

    Et puis il est entré. Je sens encore le froid polaire qui a envahit le camion lorsqu’il a ouvert la porte, me libérant de mes bourreaux. Ils ont tous filé, sans exception, et je sentais la mort venir. J’ai pensé, à ce moment là, qu’au moins, je mourrais en paix, et pas en me brisant entre ses corps répugnant qui m’entouraient. Il en avait décidé autrement.

    Dans l’étau qu’il maintenait autours de mon corps meurtrit, j’ai traversé Croke Park, et je suis sortie un moment de ma léthargie. C’était violent, bref et incongru. Allongés, dans l’herbe devenue noire à cause du sang, il y avait Nirhaël et Garrett… J’ai hurlé, je m’en souviens. Et je sens encore les bras de l’homme se serrant plus fort autours de moi. Rien ne pouvait chasser l’image horrifique des deux personnes que j’aimais le plus au monde, massacrées, tuées pour le seul crime d’avoir manqué d’allégeance à une couronne déjà en proie à un déclin inéluctable.

    Je n’ai aucune idée du nom de cet homme qui m’a sorti de la fourgonnette, m’emportant dans ses bras, précautionneusement. Je ne me souviens que de boucles brunes, et d’une odeur de menthe poivrée. Je ne me souviens, en réalité, que de ce que j’ai ressentit quand il a glissa sa tête contre mon cou et qu’il m’a mordu, faisant de moi celle que je suis aujourd’hui : une immortelle. Ses cheveux contre ma peau laiteuse, son odeur emplissant mes narines et la douleur. Ô cette douleur… Pour un peu, j’en aurais regretté mes violeurs, mes bourreaux…

    Je n’ai aucun souvenir de mon créateur, je sais juste qu’il avait entendu mes cris, mes suppliques, mes râles, et qu’il ne les avait pas supporté. Il m’avait trouvé, pensant m’achever, et la vision pathétique et faible l’avait attendrit… au poing que jalousement, il avait fait de moi une des siennes. Il me manque un morceau du puzzle, cependant… Je ne devine toujours pas pourquoi il ne m’a pas gardé comme compagne si ce qu’il voulait était épargner ma beauté.

    Qu’importe.

    De lui, je n’ai qu’un Clannagh, une bague traditionnelle portant le sceau de Galway, le sceau de la famille de ma mère. C’est un mystère comme un autre. Je garde cette couronne signe d’amour et de loyauté en pendentif, sur une chaine en argent qui ne me quitte jamais.

    Quatre vingt dix ans se sont écoulés depuis. Neufs décennies de vagabondages, de luxure vengeresse et de débauche sanglante. J’ai évolué, j’ai appris à me maîtriser seule, et je suis restée indépendante. Bien sûr, entre l’Irlande, l’Angleterre, la France et La Russie, j’en ai croisé des créatures comme moi. J’aurais pu les suivre, mais j’aimais ma vie, aussi décousue qu’elle puisse être.

    Je chassais.

    Je chassais les hommes. Jeunes et suffisants, arrogants et riches, ceux qui se foutaient des femmes, les prenant et les jetant comme des objets de plaisir. Je les traquais, je les séduisais, je profitais d’eux, puis je les tuais. Sans scrupules. Aucun. Après les avoir vidés de leur sang, je vidais consciencieusement leur portefeuille. Femme entretenue, même si l’idée est tordue. Ce qu’ils ignorent tous, c’est qu’en engageant cette aventure d’un soir, ils se condamnent. C’est dommage. Pour eux.

    Aujourd’hui, j’ai tendance à garder un profil plus bas, même si bien sûr, je n’ai pas cessé mon manège. Premièrement, j’ai un train de vie à entretenir, une image à préservée. Deuxièmement, ses hommes sont ma source de sang, je ne tiens pas à m’en passer. Evidemment, la technologie ne m’aide pas vraiment dans ma manœuvre, c’est pourquoi je bouge, c’est pourquoi j’ai trouvé une ville qui ne s’arrête jamais, qui bouge sans cesse et où l’anonymat est salvateur. Personne ici ne peut me reconnaitre, je ne suis personne, juste une Escort-girl de plus. Je les prends plus modestes, cependant, je choisis mes victimes afin qu’elles ne manquent pas, qu’on ne remarque pas immédiatement leur disparition. Hommes d’affaires en voyage, musiciens en devenirs, célébrités droguées… J’ai appris avec le temps à camoufler correctement mes meurtres.

    Bientôt, j’aurais rejoint les mort-vivants depuis un siècle, et cette idée m’attriste un peu. Je me retrouve seule. Quoi qu’il arrive, je suis livrée à moi-même, allongée dans des draps froids et tuant mes amants, même les plus tendres, même les plus beaux. J’en ai assez, et même si jamais je n’aurais pensé l’admettre, je me sens prête à me poser, à peut-être même me ranger… J’ai envie de changement, d’ordre et de repère, je suis lasse de ma vie de bohème pleine de stupre, et je sais que cette ville à autre chose à m’offrir…

    Je me nomme Siobhan O’Flaherty, je suis immortelle,
    et c’est tout ce que vous avez besoin de retenir à mon sujet.


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  • Avatar utilisé : Taylor Momsen
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25.06.10 15:27

Dunlaïr
☾ âge : 3539 ans
☾ métier : Roi des Vampires
☾ missives : 239
☾ avatar : Bloody Mood
Dunlaïr
Admin Terrifiant
Bienvenue Mademoiselle Siobhan ! Amusant, ce forum attire les Irlandaises il semblerait !
Il y en a une qui t'appréciera forcément ici ... MisterGreen
Pour ma part, voilà une vampire que j'aurais bien du plaisir à rencontrer !

Bien, pour ce qui est des détails administratifs, tu n'as pas parlé des Égyptiens, ni des Cylons, et ni des hommes du futur. Mais comme Siobhan vient d'arriver dans la ville, libre à toi de lui faire découvrir ces "immigrés" dans le déroulement du jeu.

Validée, amuse-toi bien parmi nous, on ne mord pas tous ! Rolling Eyes
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25.06.10 19:15

Nawel Ialenkaï
☾ missives : 105
Nawel Ialenkaï
Bienvenue à toi fiche très agréable à lire ...
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25.06.10 19:16

Caleb Fergesson
☾ missives : 42
Caleb Fergesson
Bienvenue J\'adore !

Bon jeu parmi nous !
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25.06.10 20:02

Jewel A. O'Siodhachain
☾ métier : Journaliste - Directrice du magasine mensuel "True Thoughts of Tough Truths"
☾ missives : 124
☾ avatar : Pretty good
Jewel A. O'Siodhachain
Han ! Coupine de Dublin ! On est pareille ! Tope-là !

... Sauf que...

Sauf que t'as juste un peu plus d'un demi-siècle que moi, que t'as de grandes dents et que tu décimes la population mâle ... hmm... bon ! Après moult réflexion, j'ai décidé que je t'aimerais quand même ! Après tout, y en a de ces hommes parfois, hein ! *envie de meurtres*

MisterGreen

So, whellcome ma jolie, have fun ! cheers
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