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Mallory O'Rourke



20.09.10 21:40

Mallory O'Rourke
☾ missives : 18
☾ avatar : Capricieuse
Mallory O'Rourke
VAMPIRE

Mallory O‘Rourke


Mallory O'Rourke  100307070321448687


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  • Nom : O’Rourke.
  • Prénom : Mallory.
  • Date de naissance : 21 juin 1893.
  • Âge d'apparence : 18 ans.
  • Lieu de naissance : Drogheda, Irlande.
  • Situation familiale : Fille unique et le restera.
  • Orientation sexuelle : Mon régime alimentaire tu veux dire ? Ben, touche à tout.
  • Pouvoirs : Je ne maîtrise aucune des caractéristiques qui font de moi une créature de la nuit. La télépathie me cause de violentes migraines et j’ai une sainte horreur de la foule. Ce qui est, avouons-le, un excellent prétexte pour fuir tout ce qui ressemble à un semblant de civilisation. Du moins, cela fonctionnait pas mal les premières années. Désormais, Papa me gonfle pour que je me concentre un maximum pour m’éviter les inconvénients de ce qui est mon premier don.

    Le second, la télékinésie est si peu active qu’il est presque risible que je t’en touches un mot. Oui, c’est vrai que je ne m’entraîne pas du tout. Il faut dire que me prendre la tête pour un truc aussi nase me débecte ! J’aime y mettre les doigts et la langue, je n’ai pas besoin de t’envoyer des trucs à la tronche pour réussir à te choper.

    Mon dernier s'éveilla il y cinq ans. Je ne l'aime pas... Foutue génétique vampirique... Celui de Papa a trop la classe, le mien non. Que je t'explique : A mon corps défendant, tout vampire qui aura un contact physique et en continue avec moi, gagnera en puissance. Multipliez par deux (Voir par trois si je suis convenablement nourrie) ce que vous êtes capable de faire en temps normal. L'amplificateur fonctionne essentiellement sur les vampires plus âgés, avec les plus jeunes, je le contrôle plus ou moins. Précision : L’amplification ne fonctionne que sur le don de ’sang’ comme je l’appelle. En résumé, je n’opère pas sur les dons ’innés’ (Télépathie et télékinésie).

  • Groupe/Clan : Celui de Papa.

Mallory O'Rourke  100307070321448687


  • Caractère : Mon enfance me fut volée, je rattrape, depuis ma mort, mon retard en la matière. Faire de moi une immortelle m'infantilisa au plus haut point. Capricieuse et gâtée à l'excès, j'en ai l'allure et que l'on me refuse quoique ce soit, me rend hystérique et violente. Je suis fondamentalement primaire, je veux, j'ai envie, je désire, je le prends sans aucune considération, c'est ainsi. Je suis, comme Papa l'affirme, une pie voleuse, mes restes d'humaine sans doute. De cela, je ne peux m'en empêcher, je pique, je chipe, surtout lorsque ça brille. J'ai faim, je bois, j'aime, je possède, et pour aimer, j'en aime... Il ne me viendrait jamais à l'idée que l'on puisse me dire non, essayez donc pour voir.

    Je suis d'un naturel joyeux, souriant et toujours en éveil. J'assure les arrières, je me glisse, je rampe, je suis un soldat admirablement bien huilé. Mon adoration et mon obéissance n'appartiennent qu'à un seul, mais je ne suis pas solitaire pour autant. Au contraire, j'aime la palabre, j'aime l'insolence. Effrontée, je ne respecte aucunement la bouffe ou les humains comme il faut les appeler, qu'ils résistent un peu est mieux, sinon, tant pis. Grossière, je refuse tous les enseignements du Pater pour me rendre civilisée. Pourquoi ? Mais pour l’emmerder bien sûr… Et surtout pour ne ressembler à aucune autre… Les gens bien élevés, les Caniches toilettés comme j’aime à les appeler me rendent malades et plus votre verbe sera alambiqué, plus je vous parlerais comme un charretier. Sale gosse ? A peine.

  • Physique : (Facultatif) Lorsque j'étais humaine, je me contrefichais de mon apparence, et maintenant ? Maintenant, j'ai un Papa à choyer, alors je m'applique. Je noircis bien souvent mes yeux bleu clair, je poudre ma peau translucide, j'ajoute du rouge à mes lèvres charnues... Ma récompense ? Papa aime les jolies femmes, et il me regarde toujours, donc... J'aime lui faire plaisir en portant des robes, il me le répète bien souvent, être féminine ne se vit pas attifée d'un pantalon, et puis j'aime quand ça virevolte. Ma petite taille n'est pas un handicap, le dos de Papa en parait bien plus large et réconfortant. Fine, souple, liane, des attaches délicates, on me trouve gracieuse... Vive les leçons de danse octroyées surtout. Pour éliminer totalement tout élan de masculinité que je pourrais avoir, Papa me flatte très souvent. Il aime mes cheveux chocolat, ainsi, je ne les attache jamais, préférant les laisser flotter sur mes épaules nacrées. Vague ondulante et mousseuse, je me sens belle, et je le suis... Il l'a dit !

  • Histoire :
    Drogheda, Irlande, 1901,

    Et voilà, elle est morte... Pas trop tôt, me dis-je en jetant un œil victorieux sur le visage fané et blafard de ma mère. Désormais, si je dois trimer, je le ferai pour moi-même et non pour la marmaille bruyante que ma tapineuse de génitrice aura mise au monde. Je suis l'aînée, et je vois leur petit visage anxieux tendus vers moi. Ne rêvez pas, maintenant, c'est chacun pour sa peau et dieu pour tous. Je n'ai rien à empaqueter et du haut de mes huit ans, la vie m'appartient enfin. Fais ci, fais ça, j'en ai terminé, je suis libre, et je compte bien le hurler à qui voudra l'entendre. Je prends tout de même le temps de dévaliser les maigres économies que ma mère conservait sous une latte du plancher de notre taudis. Parfait, en route.

    Je coupe mes cheveux sales et emmêlés dans une ruelle puante de mon quartier. Être une femelle et errer dans la rue ne va pas de pair, à partir d'aujourd'hui, je serai un garçon, c'est décidé. Du linge pend dans un jardinet voisin, j'y dérobe un pantalon, une chemise et une veste. La corde à linge sera une ceinture. Avec l'argent, je m'achète des bottines qu'un gamin accepte de me céder... Je suis prête. Mes pas me mènent au Port. Je serai Mousse, à moi l'aventure. Sauf que personne ne s'intéresse à une mioche comme moi, pire, on me rit au nez. Mousse ? Et pourquoi pas chasser du pirate, je me trompe de siècle me répondra l'un, il est amusant ce gamin dira un autre. Vexée, j'abandonne très vite mes rêves d'enfant, pour gagner ma croûte, je dois m'endurcir, et j'y arriverai.

    Première étape, se faire connaître et respecter. Je défie de mes poings tous les petits caïds des environs. Nez cassé, bleus, doigts, jambes et bras brisés... Et alors ? Je m'entraîne, et ce que je ne peux obtenir par la force, je le prends avec malice. On m'accepte, je dors, serrée contre ma Bande, nous volons, nous pratiquons l'insolence comme personne et les flics, on leur souhaite bien du plaisir pour nous choper.


    Dublin, Irlande, 1903,

    Je me suis enfuie, je suis la dernière de la Bande encore libre. Foutue flicaille, les maisons de correction ne sont pas une promenade de santé, du coup, j'ai gagné la capitale. J'ai dix ans et je m'habille encore comme un garçon. Mon corps de fille se rappellera un jour à mon bon souvenir mais pour l'instant, je suis tranquille et j'en profite. Qui dit nouvelle ville, dit nouvelle vie. Je m'essaye à l'honnêteté. Je cire les pompes des clients dans un hôtel classe. C'est mal payé, mais ils me logent. Oui, c'est vrai, je ne tarde pas à choisir la facilité, je pille leur chambre dés que l'on m'en laisse l'occasion. J'amasse un beau petit paquet. Mon but ? L'Amérique tiens ! Là-bas, je ne verrai plus ces culs-terreux d'irlandais... Ici, deux options pour les gens comme moi, devenir alcoolique ou se prostituer, voir les deux... Pas moyen ! Je me fais surprendre, les deux mains dans le portefeuille d'un type plein aux as, on me dénonce, fin d'une vie rangée. J'ai tout juste le temps d'attraper mes affaires et me voici à nouveau dans la rue. Heureusement pour moi, j'ai donné un faux nom.

    L'instinct de conservation ? J'en connais un rayon, je détrousse à nouveau et ma bouille d'angelot m'aide bien. Je dégotte un nouveau boulot, je suis crieur, ça tombe bien, gueuler, je sais faire. Des poèmes enflammés à des insultes de charretier, je déclame tout, on me glisse un billet plus une piécette et à moi l'envolé. C'est décidé, je serai actrice ou cantatrice, j'ai un don, je mime à merveille, du trémolo, de la colère, je sais tout faire... Sauf les larmes, jamais fait, c’est pour les filles, et moi, je suis un garçon !


    Birmingham, Angleterre, 1907,

    Galères ! Quelle idée aussi de s'acoquiner avec ces Charlots ! Il est trop tard pour regretter, du coup, j'encaisse. Devant moi, un juge, il me détaille sévèrement et je suis bien tentée de lui demander si ses cheveux sont vrais. Ouais non, avec ma veine, j'en prendrai pour trente ans. Outrage à un magistrat ? J'en souris perfidement et tout le long du procès, je n'aurais de cesse de m'imaginer sautant sur ses genoux pour lui arracher sa perruque... Les charges ? Contrebande, malversations, usages de faux et entrée illégale sur le territoire Anglais... Allo, je me pensais britannique et autorisée à voguer d'une île à l'autre... J'ai du me tromper ! A moins que ça ne soit mon accent irlandais qu'il ne digère pas. Quoiqu'il en soit, direction la prison, enfin pour mes trois compères. Le juge me signale qu'étant mineure, j'ai le choix entre me trouver un garant ou aller faire un tour du côté des bonnes sœurs... De quoi ? Il se fout de moi !

    Non, il était sérieux, me voici grenouille de bénitier ! Le bouquet ! Celles qui sont mariés à un type qui n‘existe pas, me pistent tels des gnomes de bruyère. Je n'arrive pas à échapper à leur surveillance poisseuse et elles osent me coller devant le gars à la croix. je vais craquer, c'est sûr... Que je prie pour les victimes que j'escroquais ? Tu rigoles mamie... Que je demande pardon ? Compte là-dessus et boit de l'eau-de-vie la momie ! Je me bride, actrice je le suis. Bientôt, il devient évident que je ne pourrai sortir d'ici qu'une fois adulte... Alors en avant !

    Deux années passent, je suis sage... Oui, enfin, mes habitudes ont la vie dure. Il n'est pas rare que je chaparde dans la bourse en cuir où la vieille garde les deniers de sa boîte à prières. Et puis, adieu Mallory version garçon, je suis une femme depuis l'année dernière. Les bonnes sœurs en ont fait des gorges chaudes... Et moi, dépitée, j'ai vu mon corps s'arrondir. C'est répugnant d'être une fille, mais je m'aperçois qu'elles s'émeuvent de ma condition. Du coup, voilà qu'elles m'enseignent la broderie et qu'elles répugnent à me confier de lourdes tâches... Surtout que maintenant, si il y a bagarres avec les autres emprisonnés, on m'évince... Et oui, comment une pauvre et frêle jeune fille pourrait coller un œil violacé au grand machin plus âgé ? Oui, c'est pas mal d'être une fille. On ne s’en méfie pas assez.


    Londres, Angleterre, 1910,

    La première chose que je fais en grimpant dans le train est de me défaire de cette ensemble, jupe et veste cintrée en laine rêche. La lettre de recommandation dans ma poche est déchirée avec minutie puis éparpillée sur le sol. Moi, devenir bonniche ? Mes talents de comédienne ont dupé la vieille, elle y a cru jusqu'au bout que j'acceptais enfin une vie rangée ! Pauvre folle. Malheureusement, je suis tout de même obligée de me coltiner le voyage offert par mon futur employeur... Un vieux dégueulasse lubrique sans doute. Alors, revêtir des frusques d'homme rendra mon voyage moins pénible, les mains au panier, non merci !

    Je suis à nouveau libre, et cette fois-ci, j'ai un plan, j'ai mis trois années à le ruminer, je n'échouerai pas. Gagner les Amériques, mais pour cela, il me faut de l'argent, vite, très vite. Et que vais-je faire ? Vendre ma virginité au plus offrant bien sûr... J'ai pris soin de mon apparence dans cet unique but. Oxford, Londres ou même Dublin, les hommes sont tous les mêmes, et je ne suis pas vilaine à reluquer, merci maman ! De mes divers butins, j'ai réussi à en conserver une bonne partie, me voici dans une boutique très chic. La couturière m'examine et découvre que je suis une femme, l'instant de surprise passée, nous parlerons longuement chiffons... L'enfer a un second prénom à présent : Les magasins de confection !

    Ma tenue est prête, le salon qui accueillera ma demande est luxueux, j'y ai veillé, la commission touchée sera de 30%, mais je veux de la qualité, et surtout du fric. La prostitution est sans doute dans mon sang car je ne me sens pas effrayée, au contraire. La Mère Maquerelle me coiffe elle-même, elle me maquille, fait mousser cette robe diaphane que je porte, c'est parti... La pièce est sombre, je suis sur une estrade, les enchères débutent, je joue la timide jeune fille, curieuse, mais rougissante... Allez messieurs, par ici la monnaie ! Mère Maquerelle ment bien, je suis une jeune fille de la campagne, élevée au grand air, une mère mourante, des frères et des sœurs à ne plus savoir qu'en faire... Et surtout, après cette nuit, je prendrais le voile, sacrifiant ma virginité à ma famille puis expiant mon pêché pour le reste de mon existence... Vont-ils gober ? Oh que oui, et tout est bouclé très vite. On paye même un supplément pour mon déplacement, j'accepte car il n'existe pas de petit profit !

    Je suis dans un hôtel particulier, l'argenterie dans son noble bahut me fait de l'œil et je me promets bien d'y dérober deux ou trois cuillères avant de me carapater. Un domestique obséquieux me mène dans un salon majestueux, étrange cet énorme fauteuil ventru trônant au centre de la pièce. Je m'en moque et je m'empare bien vite de l'argent promis,

    « Maître, pour que vous sachiez combien nous vous sommes dévoués, voici un cadeau, une jeune vierge, vos préférées... »

    Ah bon ? Ce n'est pas le bonhomme rencontré qui sera mon initiateur ? Je fixe mon regard sur le fameux Maître et ma première réaction est bel et bien la peur. Du reste, je suis bien incapable de m'en souvenir, je suis certaine qu'ils versèrent du laudanum dans mon verre de vin. Le lendemain, je n'avais plus qu'une hâte, revoir le Maître ! Les Amériques, j'ai oublié jusqu'à leur existence en écoutant les habitants de la demeure me parler de leur vie confortable et facile. Ce n'est pas Lui en personne qui m'offrit de rester, mais un subalterne. Et j'acceptais.

    Durant plusieurs semaines, j'eus droit à tout ce que l'on m'avait décrit, quel était l'intérêt de voler ? Tout ce que je désirais, tombait dans ma paume avide. Les soirées étaient envoûtantes, car Il était présent, et comme tout le monde, je n'avais d'yeux que pour Lui.

    C'est en février 1911, trois mois après mon arrivée, qu'Il sembla s'intéresser à moi. Désormais, je passe mes nuits à ses côtés, il boit mon sang, il prend avec violence, et je me débats bien fort, est-ce aimer ? Sans doute car sa proposition me ravit. Si je veux devenir comme lui ? Il plaisante, c'est quand il veut et surtout où il veut !


    Rome, Italie, 1940,

    « Je le veux ! JE LE VEUX ! »

    Je ne baisse pas les yeux, les siens sont las et je tape du pied pour faire bonne mesure... Mon caprice ? Un bel italien, le frère de notre superbe hôtesse. Elle est humaine, Père se la réserve, le frère aussi... Foutu égoïste, je le veux te dis-je ! Il me cède enfin et c'est avec brutalité que le poignet italien rencontre mes crocs et ma bouche affamée. Devenir immortelle est ma bénédiction, j'en aime chaque facette, je me joue des humains. Dans son ombre, j'existe enfin, lorsqu'il est quelque part, je ne suis jamais bien loin, c'est ainsi ! Mon apprentissage débute à peine, il s'est mit en tête de faire de moi une érudit... Bonne chance, les études sont soporifiques et rien ne m'intéresse, hormis le jeu... J'appelle ça la chasse à l'homme et comme c'est amusant ! Bien sûr, je leur laisse de l'avance, je ne suis pas mesquine ! Père suit mon évolution de près, s'il ne le dit jamais, je pense être à la hauteur de ses espérances.

    Nous voyageons beaucoup, il aime s'entourer de ses livres et j'adore en arracher chaque page par provocation. Je suis friande de sa brutalité, j'exulte en le poussant à bout, qu'il morde, frappe, arrache, je ne crains plus rien. Et lorsque la tempête se calme, je ne laisserai à aucune autre le soin de dormir pelotonnée contre lui... Est-ce cela avoir un Père ? Je n'en sais strictement rien, mais pour moi, il est le meilleur.


    Bucarest, Roumanie, 1951,

    Ce soir, je fête mon anniversaire, j'y tiens, et à me refuser quelque chose, il sait ce qui lui en coûtera. Des trépignements, des cris, des vociférations en veux-tu en voilà... Voici quarante années qu'il me transforma, et foi de Mallory, qu'il a.s.s.u.m.e ! Mais c'est avec un sourire tendre que je cours me blottir contre lui en découvrant mon cadeau sous mon oreiller... Ainsi, il n'oublie jamais, et ses petites attentions me l'attachent bien plus que le reste. Jamais, il ne me quittera, j'ai lu dans son regard toutes les étapes qu'il pourra franchir avec moi à ses côtés. Il prêche toujours autant, il bouquine et j'assassine. Il m'assure qu'un jour je parviendrai à contrôler cette faim qui me dévore... Tu parles, le contrôle n'est pas mon but, que je m'ennuierai la nuit où je n'aurai plus soif ! Il est le berger amoncelant les moutons, je suis le loup dans l'enclos, décadente métaphore, mais que j'aime leurs hurlements de terreur.

    Si mon collier de perles est un gage permanent de nos liens qui se renforcent au fil des ans, mon second cadeau me fait pousser de véritables cris de joie. Ce soir, il en a décidé ainsi, qu'ils disparaissent... Ils ? Oui, Eux, tous ses adorateurs, Père a toujours été très entouré, et ses disciples humains qu'il n'a jamais voulu que j'achève, je vais en faire mon dîner. Tous sont réunis dans la salle à manger du manoir que nous occupons... Puis-je me permettre de lécher mes lèvres avant les réjouissances ? Papa acquiesce, j'entre donc en scène et ce carnage sanglant reste mon meilleur souvenir... Il n'y a pas à dire, il sait toujours comment me faire plaisir.

    Les journaux expliqueront comment toute une secte s'est immolée dans un châtelet isolé... Bougres d'ânes, le feu sert surtout à maquiller nos traces, mais de cela, chut, secret.


    Nice, France, 2010,

    « Je n'irai pas ! »

    Los Angeles... Et puis quoi encore, pour qu'il me largue à s'entourer de tas de cadavres femelles toutes plus ravissantes les unes que les autres... Moi vivante jamais ! Je le connais par cœur, nos dernières années passées dans la brousse lui ont donné envie de s’entourer de Caniches… Des gens intelligents et cultivés comme il me le répète depuis plusieurs semaines… J’ai dit oui à la France, je refuse la Métropole ! Et puis des Aliens… Sérieusement, je m’en fous pas mal de leur plan de conquête à la con… D’ailleurs, je me fous royalement de tout ce qui ne concerne pas directement mon Papa ! Ah oui, au fait, tu savais que les Vampires avait un guignol portant couronne à leur tête ? Moi non… Mais à présent, je suis au courant.

    « Et pour quoi faire d’abord ? Comme si les bonshommes verts avaient bon goût… Tes projets puent ! Moi, je reste là… »

    Dis-je en croisant les bras sous ma poitrine. Indolent, il boucle nos malles… Allo ! Je te dis que je n’irai nulle part… Tu parles que je suis capable de rester loin de lui. Je suis donc le mouvement, bien décidée à lui en faire baver un maximum pour ne pas satisfaire mes envies du moment. Los Angeles toute entière paiera le prix de ma mauvaise humeur.



Mallory O'Rourke  100307070321448687


  • Avatar utilisé : Michelle Trachtenberg.
  • Où avez-vous connu ce forum ? : J’ai suivi Papa.
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21.09.10 11:33

Mallory O'Rourke
☾ missives : 18
☾ avatar : Capricieuse
Mallory O'Rourke
J'me permets un double post (Fouettez-moi Twisted Evil ) pour vous aviser d'la finalité de la fiche.

MisterGreen
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21.09.10 14:05

Dunlaïr
☾ âge : 3539 ans
☾ métier : Roi des Vampires
☾ missives : 239
☾ avatar : Bloody Mood
Dunlaïr
Admin Terrifiant
Un double post et "un guignol portant couronne"... insolente enfant.
Elle me rappelle Nout dans ses plus tendres années. *soupire*
Gardez la bien précieusement Hagen, ces choses là, soit elles nous filent entre les doigts (révolution féminine de malheur!), soit on s'en lasse. Devil\\'s smile

Entre nous, j'ai bien ri, j'adore comme toujours. Bienvenue Mallory !
Allez, file t'occuper de tes biberons !
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21.09.10 14:13

Mallory O'Rourke
☾ missives : 18
☾ avatar : Capricieuse
Mallory O'Rourke
Soit on bute Pygmalion... Ben ouais, t'as oublié cette option M'sieur Pacotille MisterGreen
Contente que tu t'sois bien marré Votre Hauteur, ça durera pas *Fais sa maligne*

Merci Pépère, t'es au poils, j'biberonnerai tout plein à ta santé.
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21.09.10 14:30

Zenobie
☾ missives : 51
☾ avatar : Joueuse
Zenobie
    Un post, ... et UN seul !

    Bienvenue, ravie de rencontrer enfin la petite Hagen !
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21.09.10 15:54

Jewel A. O'Siodhachain
☾ métier : Journaliste - Directrice du magasine mensuel "True Thoughts of Tough Truths"
☾ missives : 124
☾ avatar : Pretty good
Jewel A. O'Siodhachain
Mwaha !
Ça promet d'être joyeux tout ça ! BIENVENUE !

T'es mignonne comme tout, tu fais bien rire mais... Je vais éviter de te croiser, hein. Tu comprends...

Ah puis : bienvenue au club des Irlandaises ! TROIS ! Et de TROIS ! Vanish
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21.09.10 16:42

Mallory O'Rourke
☾ missives : 18
☾ avatar : Capricieuse
Mallory O'Rourke
Qui t'appelles 'petite' la vioque ? Fais gaffe hein !
*Se planque derrière son Pater*

Merci poulette ^^


Quant à toi l'irish, t'es donc la première sur ma liste... Personne ne t'as jamais expliqué que la crainte est hyper excitante pour le prédateur ? Tu cours vite, dis ?

Merci MisterGreen
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21.09.10 17:38

Hagen Valdis
☾ métier : Aucun
☾ maître : L.A
☾ missives : 29
☾ avatar : Bloody
Hagen Valdis
J'ai failli attendre... MisterGreen Mon Bébé m'a manqué, ça fait si longtemps... Heart

T'en fais pas Dunlaïr, Bébé et Moi nous sommes des modèles Uniques... Elle se fout bien de la condition féminine, d'ailleurs, c'est la bouffe qui l'intéresse... MisterGreen
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21.09.10 18:59

Jewel A. O'Siodhachain
☾ métier : Journaliste - Directrice du magasine mensuel "True Thoughts of Tough Truths"
☾ missives : 124
☾ avatar : Pretty good
Jewel A. O'Siodhachain
C'moi l'irish ? Oh tu sais... je ne cours pas vite du tout. Vraiment, ce serait ennuyant pour toi de me courir après. Trouve-toi un autre gibier !

(avec plaisir, un jour, proche ou pas lointain. M'enfin tu vas peut-être te mettre à dos Claudius MisterGreen
Hein Clauclau, si on fait du mal à ta journaliste, tu feras quoi ? Hé hé hé hé hé... )
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21.09.10 19:52

Claudius
☾ métier : Aucun
☾ missives : 96
☾ avatar : Changeante
Claudius
Bienvenue !

Eh bien bon courage à Dunlaïr pour faire mentir l'image du "guignol portant couronne".... mdr

Tiens tiens, Jew, tu irais demander de l'aide à un type exaspérant ? Enfin, s'il s'agit de Ma journaliste comme tu dis... je veillerai sur mes intérêts. =)
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21.09.10 22:53

Nawel Ialenkaï
☾ missives : 105
Nawel Ialenkaï
Je ne sais pas si on peut dire Bien-venue... mais dans tous les cas amuses toi bien, mais je pense que c'est déjà ton but !

---

Personnage haut en couleur, surprenant, et caustique. Ravie de voir des aussi bon rpgistes arriver Smile

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22.09.10 8:54

Mallory O'Rourke
☾ missives : 18
☾ avatar : Capricieuse
Mallory O'Rourke
Non Papa, il n'y a pas que la bouffe qui m'fasse planer... T'emmerder, j'aime bien aussi Heart
Trinquons bien vite à nos retrouvailles, bousillons allègrement, et haïssons-nous sauvagement...
*En plein délire*

L'irish, t'en fais pas minette, la course est l'apéro, mes jeux sont tout autre. Et rapport à ton protecteur, qui te dit qu'il entendra tes appels au s'cours *Coupe les langues avec brio* J\'adore !

Claudius, merci vieux machin. Tu m'fais penser à Papa, radin comme pas deux... Partage un peu bon sang, on peut s'faire du bien sans forcément zigouiller de l'irlandaise... Au pire, chassons-la de concert Arrow

Tu as bien cerné le perso Nawel, en effet, s'amuser est son moteur... Ca et bouffer... Et d'autres menus détails sans importance. Merci Razz
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22.09.10 13:59

Siobhan L. O'Flaherty
☾ métier : Femme entretenue, prostituée macabre.
☾ missives : 244
☾ avatar : Extatique
Siobhan L. O'Flaherty
Bienvenue Very Happy J'arrive en retard, je repasse lire tout ça comme il faut ce soir Wink
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23.09.10 8:26

Mallory O'Rourke
☾ missives : 18
☾ avatar : Capricieuse
Mallory O'Rourke
Tu n'es pas si en retard que ça, j'arrive à peine What a Face
Merci en tous les cas... C'qu'on est bien accueilli ici ^^
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23.09.10 9:30

Siobhan L. O'Flaherty
☾ métier : Femme entretenue, prostituée macabre.
☾ missives : 244
☾ avatar : Extatique
Siobhan L. O'Flaherty
Fiche lue !

C'était mignon, je lis toujours à haute voix et là, j'ai un master rhume. Adorable, mais qu'importe.

J'ai beaucoup aimé et pourtant, lire les fiches n'est pas mon passe-temps favoris. Bref.

Irlandaise, capricieuse, entretenue et casse-pied ? Hm Rolling Eyes non non, j'ai pas l'impression qu'on va s'entendre Razz ou pas, justement ( on marche sur le même territoire, ça peut-être problématique ).

Bienvenue, à nouveau. J'espère te croiser rapidement, ça risque d'être drôle. TRÈS drôle...
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27.09.10 18:05

Mallory O'Rourke
☾ missives : 18
☾ avatar : Capricieuse
Mallory O'Rourke
Ben oui dis donc ^^
J'ai viré mon emploi qui ressemblait trop au tien... Hors de question qu'on nous appelle les photocop' hein MisterGreen

Pas sûre qu'on s'entende mais fout' le bordel, ça devrait s'faire ! Tu sais où m'trouver si l'coeur t'en dit ^^
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01.10.10 10:36

Caleb Fergesson
☾ missives : 42
Caleb Fergesson
Je suis impardonnable de ne pas avoir vu une si jolie jeune femme arrivée dans ce lieu ...

Je vous souhaite la bienvenue, amusez vous bien
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02.10.10 13:07

Mallory O'Rourke
☾ missives : 18
☾ avatar : Capricieuse
Mallory O'Rourke
Oh oui im.par.don.na.ble ^^
Merci du p'tit mot Biberon Cool
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03.10.10 18:56

Caleb Fergesson
☾ missives : 42
Caleb Fergesson
Biberon ???

J'essayerais de me faire pardonner alors Smile
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